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Droits et devoirs des juges
Archives : Règlement des juges félins LOOF de mars 2001 (6/10)
Les droits et les devoirs du juge agréé
- Pour être juge reconnu, il faudra :- avoir été agréé par le Conseil
d’administration du LOOF, -avoir passé avec succès ses examens conformément
à la réglementation du LOOF (juges français).
- Avoir passé un complément d’examen conformément à la réglementation du
LOOF et les avoir réussi (juges français).
- S’engager à ne pas juger, en France (ou à l’étranger s’il s’agit
d’une exposition organisée par une association féline française) dans des
expositions non reconnues par le LOOF.
- Le juge doit s’assurer que son élève-juge manipule correctement les chats.
- Le juge lors de ses jugements ne fume pas et ne téléphone pas.
- Le juge doit être inscrit sur la liste agréée par le LOOF.
- Le juge français doit envoyer la liste des expositions où il a jugé pendant l’année.
- Le juge français doit être membre d’un club Français reconnu L.O.O.F.
- Le juge a l’obligation d’appliquer les standards de race et couleurs
reconnus en France par le LOOF pour les expositions françaises (ou étrangères
si elles sont organisées par un club français).
- Il doit juger en titre que les races reconnues et non les N.R.C (nouvelles races et couleurs).
- En cours d’exposition, il ne doit pas attribuer de race ni de titre à un
chat sans origines connues, ni changer la couleur d’un chat sans avoir étudié
son pedigree. Ce chat devra passer devant deux juges de confirmation.
- Lors d’un jugement, un juge aura à sa disposition au moins un assesseur.
- A l’occasion d’une exposition, le juge sera défrayé par le club
organisateur : de ses frais de transport (voiture, train, avion,
autres...), de ses frais d’autoroute, de repas, des autres frais qui découlent de l’exposition.
- Une chambre d’hôtel correcte sera mise à la disposition du juge durant le
week-end d’exposition, si besoin du vendredi soir au dimanche soir.
- Ses repas seront pris en charge par le club depuis son arrivée jusqu’à
son départ (de la veille de l’exposition au lendemain de l’exposition).
- L’accompagnant du juge ne pourra rester dans la salle de jugement que s’il est clerc ou assesseur
- L’organisateur d’une exposition est libre : d’apporter des suppléments
d’indemnité, de prendre en charge les suppléments de chambre de
l’accompagnant du juge et de prendre les repas de l’accompagnant à sa
charge, d’offrir un cadeau.
- Le juge recevra du club invitant un contrat en double exemplaire comprenant :
les coordonnées du club, les conditions de jugement, les frais pris en charge,
le lieu de l’exposition, l’hôtel avec son téléphone (peut être transmis
plus tard), les observations éventuelles du club, un emplacement pour ses éventuelles
observations, les horaires de jugement.
- Le juge devra renvoyer son double au club le plus rapidement possible, si
possible complété par ses dates d’arrivée et de départ et par son moyen de transport.
- Un juge qui s’est engagé à juger lors d’une exposition : ne pourra
se décommander sans raison valable et justifiée, n’a pas le droit de se désister pour juger ailleurs.
- Le juge doit être averti qu’il aura un élève-juge; dans le cas contraire
il peut refuser l’élève-juge. Le nom de l’élève-juge devra lui être communiqué.
- Le juge instructeur ne peut avoir qu’un élève-juge.
- Si le juge est appelé à faire passer des examens, il peut demander à juger moins de chats.
- Un juge peut refuser d’être instructeur; il en préviendra le club.
- En général, un juge est invité pour juger au maximum : 100 chats en
nouveau jugement (ring), 80 chats en traditionnelle de deux jours, 40 chats en
traditionnelle d’un jour. Si le nombre de chat est dépassé, le club devra en
informer le juge et le dédommager.
- Le juge s’engage à ne juger que les races pour lesquelles il a l’examen.
- Seul un juge all-breed est habilité à choisir un Best suprême (si décerné par le club).
- Un juge (sa famille ou une personne vivant sous le même toit) ne peut pas
mettre en concours ses propres chats dans une exposition où il juge.
- Il peut toutefois présenter des chats hors concours.
- Un juge est mis ”en veille“ s’il juge moins de 3 fois dans l’année
(sauf cas de force majeure).
- Il est recommandé à un juge en veille de participer au séminaire annuel, ce qui supprimera la notion de veille.
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